» Avec ses jeunes filles nues ou demi nues, il a fait rêver plusieurs générations d′individus du sexe masculin, du puceau au camionneur. « Wiaz, Le Nouvel Observateur
» Les dessins d′Aslan, proches de la photopeinte, oscillent entre kitsch exacerbé et véritables documents historiques. « GQ magazine
» Un très joli voyage dans le passé donc pour les nostalgiques mais aussi pour les teenagers qui veulent trouver un look tribal pop » seventies » et qui, comme ma génération, s′habille à nouveau – temps de crise – en friperies pour sortir. « Jean-Pierre Dionnet
Si le nom d′Aslan n′évoque pas forcément quelque chose au public de moins de trente ans, la seule mention des pin-up de Lui replace tout de suite l′artiste dans son contexte. Car c′est Aslan qui, de 1963 à 1981, dessina chaque mois, tout au long de l′année, la fameuse pin-up qui a nourri les fantasmes de plusieurs générations. Ses femmes blondes, brunes ou rousses, souvent plus opulentes que brindilles, souriantes ou à la mine gentiment boudeuse, provocantes avec la main entre les jambes, s′exhibant, toujours dans des positions sans cesse renouvelées, ont presque toutes un point commun : ce regard pénétrant et troublant dans lequel le spectateur ne pouvait que se perdre, pour son plus grand plaisir.
» Je peins et sculpte la femme « le plus beau sujet donné aux artistes », car il est inépuisable et éternel. « dit Aslan.
Cet ouvrage recense ses plus belles oeuvres publiées dans le magazine Lui.