Londres, 18e siècle, Janice est enfermée à vie pour avortement. Un vicomte mystérieux se porte garant d’elle et la sort de prison. Janice va-t-elle saisir cette chance ?
Elle découvre vite que ce ne sont pas les qualités morales du Vicomte qui l’ont sauvée, mais son corps. Elle est maintenant destinée à rejoindre le cheptel du seigneur et assouvir le moindre de ses désirs sans réticence.
Elle fait contre mauvaise fortune, bon dos et accepte son destin, se révélant être une grande jouisseuse experte en fellation. Et après qu’elle ait reçu la marque de son maître, sa vie semble heureuse comme jouet sexuel.
Mais le vicomte est bien plus terrible qu’il n’y parait. Entre joutes sexuelles, dominations brutales, bestialité atroce, il a un nouveau plan, marier Janice à un riche notable. Il veut s’enrichir davantage grâce à elle.
Ce résumé peut sembler un peu court ou manquer de croustillant, mais nous sommes ici avec Von Götha (qui signe d’ailleurs quelques planches sous un autre pseudonyle Baldur Grimm) et, qui plus est, dans son chef d’œuvre absolu. Chaque page de Janice est un délice de dessin, de soumission, de queues dressées et de femmes magnifiques. C’est tout le cœur de l’auteur, pornographie intense et quasi permanente avec des planches à couper le soufle.